Le groupe musical Azerty veut découvrir de nouveaux horizons, de nouveaux sons. Explications dans #M
Le groupe rock belge Azerty, qui a sorti en octobre dernier son deuxième EP, intitulé “Les Cailloux”, s’aventure de plus en plus en terrain urbain, sans pour autant délaisser ses origines boisées et intimistes. Le guitariste et chanteur Pierre Leroy revient sur les évolutions artistiques du groupe sur le plateau de M.
“Avec notre premier EP, le côté campagnard, c’était un peu l’étiquette qu’on avait avec Azerty. Il y avait la cabane au fond de la forêt, le côté un peu boisé. Dans l’instrumentation, il n’y avait que des guitares. Il y avait des cuivres, mais peu de batterie et pas de basses. Et donc c’est une ouverture en effet avec s’est faite avec ce deuxième EP. Sur l’instrumentalisation, on a rajouté pas mal de clavier. D’un duo folk un peu à la Simon and Garfunkel, on est passé à un quintet avec d’autres choses, quelque chose d’un peu plus ouvert”, explique Pierre Leroy.
Il y a un peu plus de deux ans qu’Azerty a sorti son premier joli EP. Une oeuvre folk qui a été produite par Boris Gronemberger (Girls In Hawaii, VO). Depuis lors, le groupe a pris de l’ampleur et se compose désormais de cinq artistes, notamment des musiciens de Noa Moon et du Colisée. A l’occasion de son deuxième EP, Les Cailloux, la formation indie rock avait donné en novembre dernier un concert à l’Atelier 210. La sortie de ce deuxième opus marque un tournant artistique pour un groupe, qui a souhaité élargir ses horizons.