Samusocial : “Avec Pascale Peraïta au CPAS c’était un régime de terreur, on savait qu’on devait se taire”

La commission d’enquête parlementaire sur l’ASBL Samusocial a repris ses travaux ce mardi. Carine Elst, secrétaire générale du CPAS de la Ville de Bruxelles est entendue par les députés, quand elle évoque son expérience avec Pascale Peraïta en tant que présidente du CPAS, elle parle d’un régime de terreur. Extrait.

Après les auditions de Charles Picqué et de Laurette Onkelinx, la commission d’enquête parlementaire sur l’ASBL Samusocial reprend ses auditions ce mardi. Les députés bruxellois entendent d’abord Carine Elst, secrétaire générale du CPAS de la Ville de Bruxelles, qui a notamment travaillé au côté de Pascale Peraïta, quand cette dernière était encore présidente du CPAS. “Une période de trois ans qui était très peu agréable” explique-t-elle, elle va même jusqu’à préciser “un régime de terreur, on savait qu’on devait se taire et Mme Peraïta était très active”, “elle avait un langage corporel très signifiant“.  “Elle avait peu de respect tant pour ma fonction que pour ma personne” ajoute-t-elle.

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26 septembre 2017 - 18h15
Modifié le 29 septembre 2017 - 11h10