#WeRemember : la musique jazz et la Shoah

Des notes joyeuses des années 1920-1930 jouées à l’Italian Jazz Festival… mais aussi au camp de concentration de Theresienstadt entre 1943 et 1944.

Dans ce camp de concentration, basé en République Tchèque, on y envoyait des intellectuels et des musiciens. Ce camp était la vitrine de la propagande nazie. Dans le ghetto de Terezin, il y avait un café dans lequel les nazis avaient promis aux 15 musiciens de rendre leur liberté s’ils se produisent dans ce café. Mais “rendre leur liberté”, pour les nazis, cela signifiait envoyer dans la chambre à gaz.

Apporter de la joie

Ce concert, organisé à l’institut de culture italienne, est un hommage à ces musiciens, qui par leur art, portaient l’espoir. Le but de l’institut est de montrer qu’à travers la musique, les gens étaient capables d’exprimer et d’inspirer de la joie aux personnes qui écoutaient.

Reportage de Marine Guiet, Béatrice Broutout et Stéphanie Mira