Grâce à Maya l’abeille, les cigarettes deviennent aussi l’amie des enfants! “Mayalight”, la nouvelle campagne choc de Greenpeace

Grâce à Maya l'abeille, les cigarettes deviennent aussi l'amie des enfants! "Mayalight", la nouvelle campagne choc de Greenpeace - BX1

Si Maya l’abeille, personnage bien connu des jeunes générations, peut profiter de sa notoriété pour inviter les enfants à consommer de la charcuterie, pourquoi ne pas les inciter aussi à goûter aux “bienfaits” de la cigarette? C’est le thème de la nouvelle campagne de Greenpeace. L’ONG de protection de l’environnement demande à Studio 100 l’arrêt de la promotion de la charcuterie via des personnage enfantins populaires.

A partir de maintenant, les enfants peuvent aussi profiter d’une vraie cigarette. Pratique, paquet en format mini pour les petites mains. Avec le meilleur tabac au goût délicieux et doux de miel“.

La fausse publicité réalisée par Greenpeace vente les mérites d’une toute nouvelle cigarette, conçue pour inciter les enfants à fumer plus. Un clip qui n’est pas sans rappeler les différentes campagnes de publicité imaginées par Studio 100 pour vendre les mérites de la charcuterie pour enfants.

© Mayalight – Greenpeace

Bien sûr, Maya n’a jamais fait la promotion de cigarettes, mais elle fait celle de la charcuterie pour enfants, tout aussi nocive pour leur santé“, précise Greenpeace auprès de Belga. “La charcuterie augmente le risque de mortalité et le risque de maladies telles que le cancer du côlon, les maladies cardiovasculaires et le diabète de type 2″, ajoute l’ONG qui souhaite sensibiliser aux dangers de la viande transformée.

© Mayalight – Greenpeace

Par cette nouvelle campagne choc, Greenpeace veut inviter Studio 100 à revoir ses campagnes promotionnelles, et à remplacer la charcuterie par des subsituts végétariens sains, ou par de la viande issue de l’agriculture locale et écologique.

L’ONG invite les citoyens à signer son appel à Studio 100, pour que l’entreprise détentrice des droits sur Maya abandonne les charcuteries “malsaines” au prodit d'”alternatives saines“.

C.L