Sans doute pas de solution pour le survol de Bruxelles avant 2019

C’était pressenti mais désormais bien confirmé, note L’Echo samedi: il n’y aura sans doute pas de solution structurelle pour le dossier du survol de Bruxelles avant 2019.

La conclusion est tirée à l’issue d’un entretien avec le ministre de la Mobilité François Bellot (MR), selon lequel le bureau d’étude qui sera chargé d’objectiver les nuisances sonores des avions survolant la capitale devra probablement être sélectionné à l’étranger, pour assurer une étude “totalement indépendante”.

Aux Pays-Bas, il a fallu deux ans et demi pour régler les problèmes de l’aéroport de Schiphol“, relève le ministre, qui croit dur comme fer qu’un “grand audit indépendant“, “une étude d’incidence qui va tout objectiver“, suivie de recommandations, est la solution dans cet épineux dossier. Un laps de temps analogue est donc possible en Belgique, note le quotidien.

Par rapport à un autre dossier relevant de ses compétences, celui de la SNCB, “on doit révolutionner l’organisation interne des chemins de fer“, balance François Bellot. “Il y a beaucoup trop de gratte-papiers aujourd’hui aux chemins de fer alors qu’on a davantage besoin d’opérationnels. (…) Attention, je ne prétends pas qu’il faut liquider du personnel, je dis qu’il faut rééquilibrer les choses et c’est ce que nos recrutements démontrent. La gouvernance de l’entreprise est à revoir et la digitalisation doit être poussée. L’autonomie, aussi.

Belga

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