Rentrée du supérieur non universitaire : “Il faut remotiver les jeunes à se tourner vers des métiers qui souffrent de leur réputation”

Être étudiant aujourd’hui, ça implique quoi ? Faire un choix de filière ou option n’est pas toujours simple, faire face aux frais non plus. On fait le point dans le 12h30 avec Daniel Maes, directeur du secteur des sciences humaines et sociales de la Haute école Leonard de Vinci.

Lundi prochain, c’est la rentrée des universitaires dans les auditoires, mais ce jeudi, c’est déjà la rentrée dans le supérieur non universitaire. L’objectif des formations professionnalisantes des hautes écoles : coller au plus près des métiers. “Nous devons toujours être à l’écoute, nous devons toujours nous réinventer. Nous savons que nous sommes dans un monde en perpétuel mouvement. Il y a actuellement des pénuries dans certains métiers, notamment chez les professeurs ou dans le milieu infirmier. Il y a un problème de société à ce niveau-là. Notre défi est de motiver les jeunes à venir vers ces métiers en manque de personnel et qui ont été “abîmés socialement” dans leur réputation. D’où le travail de proximité avec les candidats“, explique Daniel Maes.

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Une interview de Daniel Maes, directeur du secteur des sciences humaines et sociales de la Haute école Leonard de Vinci, au micro de Fanny Rochez et Vanessa Lhuillier