Policier tué à Schaerbeek : l’OCAM souhaite inclure les acteurs médicaux dans le suivi
Ce n’est pas aux policiers de traîter le suivi des personnes atteintes par des troubles mentaux selon l’OCAM.
Le 10 décembre dernier, un policier a été tué à Schaerbeek par un individu radicalisé. Avant son acte, il était entré dans un commissariat pour annoncer qu’il avait l’intention de s’en prendre à des policiers. A la suite de cela, il avait été conduit dans un hôpital mais avait quitté la salle d’attente sans avoir consulté un médecin.
Après cet événement tragique, l’Organe de Coordination pour l’Analyse de la Menace (OCAM) a formulé des recommandations via son directeur, Gert Vercauteren. Avec un constat qui s’impose: le profil des terroristes a changé. Désormais, ces individus se présentent désormais sous la forme de solitaires. Pour tenter de réduire ce genre de faits, l’OCAM estime qu’il faut mieux inclure les acteurs médicaux, sociaux et psychologiques dans le suivi de ces individus.