Pascal Smet (SP.A): “En terme de coordination des chantiers, Bruxelles est un pionnier”
Le ministre bruxellois de la Mobilité et des Travaux public explique que d’autres grandes villes s’inspirent de la méthode de travaille bruxelloise. C’est notamment le cas de Montréal.
Bruxelles se prépare à franchir une nouvelle étape dans la gestion des conséquences des 120.000 chantiers par an sur l’espace public. Dès ce lundi, le parlement bruxellois examinera en commission un projet d’ordonnance présenté par les ministres bruxellois des Travaux publics Pascal Smet (SP.A) et de l’Economie, Didier Gosuin (Défi), soutenus en cela par le président de l’Union des Classes Moyennes. Le but: mieux indemniser les commerçants touchés par les travaux, améliorer la coordination des chantiers, anticiper leurs aspects sur le quartiers…
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Le projet d’ordonnance était présenté ce vendredi. L’occasion pour le ministre Pascal Smet de défendre à notre micro une politique bruxelloise en terme de mobilité et de travaux qu’il considère comme “très moderne“: “Dans le cadre de la coordination des chantiers, Bruxelles est un véritable pionnier. La ville de Montréal s’intéresse par exemple à notre méthode de travail. Un chantier est par exemple interdit trois ans après avoir été commencé“. A notre micro, le ministre est également revenu sur les critiques à l’égard du logiciel Osiris, qui permet de centraliser toutes les infos sur les travaux en cours dans la capitale.
► Interview de Michel Geyer
Rédaction, photo Belga