Le trafic aérien tourne de nouveau à plein régime après la panne chez skeyes

Le trafic aérin belge tournait de nouveau à plein régime jeudi en début de soirée, a-t-on appris auprès de skeyes, l’entreprise chargée du contrôle de l’espace aérien belge.

Plusieurs retards dans les vols à Brussels Airport après la panne chez skeyes

Aucun avion n’a décollé entre 15h00 et 16h15.

Des dizaines de vols à l’arrivée et au départ de l’aéroport de Zaventem accusent du retard en raison de du problème technique ayant impacté skeyes, l’entreprise chargée du contrôle de l’espace aérien belge, selon les informations disponibles sur le site de Brussels Airport.

Certains retards pourraient atteindre les deux heures. L’aéroport indique sur son site ne pas être en mesure d’évaluer la durée des perturbations résiduelles. Brussels Airport demande aux voyageurs de consulter régulièrement son site web et leurs informations de vol personnelles pour connaitre le statut de leur avion.

Le trafic aérien dans l’espace aérien géré par skeyes (jusqu’à 7.500 mètres d’altitude) a été interrompu jeudi vers 15h00 en raison d’un problème technique sur le système informatique utilisé par le contrôleur de l’espace aérien.

Reprise du trafic aérien après le redémarrage du système informatique de skeyes

Le système informatique de skeyes a été redémarré et le trafic aérien peut reprendre progressivement.

Le système informatique de skeyes, l’entreprise chargée du contrôle de l’espace aérien belge, est à nouveau opérationnel depuis 16h00 environ. Le trafic aérien dans les aéroports belges peut dès lors reprendre même si cela se fera de manière progressive.

“Nous sommes à nouveau opérationnels”, a indiqué jeudi après-midi Kurt Verwilligen, le porte-parole de skeyes. “Le système est à nouveau opérationnel et stable. Le trafic aérien peut redémarrer progressivement.”

Le trafic aérien dans l’espace aérien géré par skeyes (jusqu’à 7.500 mètres d’altitude) a été interrompu jeudi vers 15h00 en raison d’un problème technique sur le système informatique utilisé par le controleur de l’espace aérien “Notre priorité absolue était la sécurité”, poursuit Kurt Verwillige. “Par conséquent, notre première tâche a été de libérer l’espace aérien et détourner les avions qui étaient en vol” vers les pays environnants.

Les avions prêts à décoller dans l’un des aéroports belges devaient eux rester au sol. Les vols au-dessus de 7.500 mètres ont pu, quant à eux, se poursuivre. Ceux-ci étant contrôlés par le contrôleur aérien européen Eurocontrol.

Belga