Débat : faut-il repenser, voire supprimer, le décret inscription ?

A Bruxelles, de nombreuses écoles sont pleines, et les enfants ne se retrouve pas dans l’école de leur premier choix. A quelques jours de la rentrée, il y est l’heure de tirer le bilan du décret inscription. Comment pourrait-il être repensé, va-t-on vers son abrogation complète ? Le débat est lancé.

L’avenir du décret inscription est sur les lèvres des politiques pour cette rentrée. Olivier Maingain, président de DéFI, évoque son abrogation, même chose pour Laurette Onkelinx, présidente du PS bruxellois et cheffe de groupe PS à la Chambre. Pour Etienne Michel, directeur général du SeGEC, Secrétariat général de l’enseignement catholique, il est évident qu’une formule miracle n’existe pas, mais il précise que le décret devrait tout de même être modifié, pour lui la première priorité est de créer suffisamment de place sdans les écoles. Face à lui, sur le plateau de M le Mag de la Rédac Roberto Gallucio, administrateur délégué du CPEONS, Enseignement des communes et des provinces, rappelle que le dernier décret inscription a atteint son objectif de transparence, mais peut-être pas celui de la mixité.