À quoi ressemblent les animations Evras?

Depuis cette rentrée scolaire, les élèves de la Fédération Wallonie-Bruxelles de 6e primaire et 4e secondaire recevront une animation relative à l’éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle (Evras). Ils recevront une seule animation de deux heures, confirme le cabinet de la ministre de l’Éducation, Caroline Désir (PS). Cela concerne 85.000 élèves en Wallonie et 25.000 élèves à Bruxelles. Les entités francophones du pays ont convenu de mobiliser un budget annuel de 4,8 millions d’euros à cette fin. Le projet suscite la controverse.

Mais que retrouve-ton exactement dans ces animations?

■ Le point dans ce reportage de Marie-Noëlle Dinant et Gauthier Flahaut

Lire aussi | “L’Evras est le fruit d’un processus démocratique”

Lire aussi | L’Evras, “un travail essentiel”, selon le Délégué général aux droits de l’enfant

Lire aussi |Rentrée scolaire : les cours d’EVRAS désormais obligatoires dans l’enseignement francophone

BX1
Résumé de la politique de confidentialité

Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous fournir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre les sections du site que vous trouvez les plus intéressantes et utiles.

Plus d'informations sur nos mentions légales