Restructurations chez Dreamland et Dreambaby : il y aura finalement moins de licenciements
Le groupe procédera au licenciement collectif de 151 collaborateurs, contre 192 annoncés.
En avril dernier, l’annonce tombe comme un couperet, lors d’un conseil d’entreprise extraordinaire : les magasins Dreamland et Dreambaby, entreprises du Colruyt Group, doivent procéder au licenciement de 192 collaborateurs parmi les 1.100 emplois de la chaîne, ainsi que fermer plusieurs magasins. D’après un communiqué diffusé par le groupe à l’occasion de la communication des résultats 2022-2023, il ressort qu’il n’y aura finalement que 151 licenciements.
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“En tant qu’employeur axé sur les personnes, le groupe Colruyt déploiera un maximum d’efforts pour se recentrer au sein du groupe afin de réduire le nombre de licenciements“, indique ainsi le groupe, dans son communiqué. Contacté par l’agence Belga, une porte-parole explique également que cette baisse du nombre de licenciements est en partie due au fait que les employés concernés ont déjà quitté l’entreprise, ou trouvé un autre poste au sein du groupe.
Un plan social en négociation
Depuis le mois de mai, la phase d’information et de consultation prévue par la loi Renault (en vigueur lors de licenciements collectifs) a bien eu lieu et est terminé. “Nous sommes en train de négocier un plan social, et nous espérons encore réduire le nombre de licenciements secs“, aoute Karen Van de Voorde, du syndicat socialiste BBTK.
ArBr avec Belga – Photo : Belga (archives)