Universités : des propositions sur la table pour aider à la réussite scolaire des nouveaux étudiants

Le passage entre le secondaire et l’enseignement supérieur est une étape souvent difficile. L’une des raisons : un bagage de connaissances parfois inégal. Des solutions sont sur la table pour limiter le taux d’échec, mais elles ne sont pas convaincantes pour la FEF.

En raison d’un fort taux d’échec lors de la première année en étude supérieure, des solutions sont en projet. Du côté des députées Marie-Martine Schyns et Alda Greoli (Les Engagés), l’idée d’une année supplémentaire en secondaire est sur la table. Cette année, dite propédeutique, permettrait aux étudiants de se remettre à niveau dans certains domaines, tels que les maths, les langues, ou encore les sciences. Du côté de la Ministre de l’Enseignement supérieur, Valérie Glatigny (MR), la solution, afin de réduire les inégalités entre les étudiants, serait de proposer un test d’orientation non-obligatoire et accessible à chaque étudiant. Ce test permettrait aux étudiants de vérifier leur niveau de connaissance dans leur filière.

Cependant, pour la FEF (Fédération des Etudiant.e.s Francophones), ces deux projets ne sont pas des solutions. Une année supplémentaire risque d’être un problème financier supplémentaire pour les primo-arrivants et un test d’orientation, même s’il n’est pas obligatoire au départ, le sera peut-être au fil des années.

■ Une interview de Lucas Van Molle, Président de la FEF par Camille Paillaud pour le 12h30

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