Master de médecine à Mons : “Il y a eu une évolution dans les discussions”, selon Valérie Glatigny

L’université de Mons aura son master en médecine. Paul Magnette (PS) et Valérie Glatigny (MR) étaient invités pour en parler dans Bonjour Bruxelles.

Les conditions prévues pour l’ouverture du master en médecine à Mons, “c’est ce qui était prévu depuis des semaines. On a perdu un temps fou. On a perdu une énergie folle, tout simplement, parce que le MR a bloqué, seul au monde, un master que tout le monde demandait“, estime Paul Magnette (PS).

Toutes les études le montrent :  il y a une grande partie des médecins qui vont rester à l’endroit où ils ont étudié“. Le manque de master en médecine en Wallonie créait, à certains endroits, des déserts médicaux.

Ce master à Mons et celui de médecine générale à Namur permettront un rayonnement de ces deux parties du pays dans d’autres secteurs, selon le président du PS. “C’est aussi un levier en termes de développement économique“.

Concernant le financement, Paul Magnette estime que les conditions auxquelles le master devra se plier avaient été proposées par le PS dès le début. Pour Valérie Glatigny (MR), “ce n’est pas exact. Il y eu a une évolution dans les discussions“.

Interviews de Valérie Glatigny (MR) et Paul Magnette (PS) par Fabrice Grosfilley dans Bonjour Bruxelles