Le vandalisme et les graffitis ont coûté près de 3 millions d’euros à la STIB

L’année dernière, 333 auteurs de vandalisme ont été identifiés.

Le nettoyage des graffitis et la réparation des véhicules ainsi que des stations de la Stib après des actes de vandalisme ont coûté un peu plus de 2,7 millions d’euros à la société de transport public bruxelloise l’année dernière.

La députée bruxelloise Bianca Debaets (CD&V) a diffusé ce montant total lundi après avoir posé la question à la ministre bruxelloise de la Mobilité Elke Van den Brandt (Groen).

  • – Les coûts les plus importants englobent les interventions dans les stations avec quelque 1,5 million d’euros, dont 980.000 pour l’élimination des graffitis ;
  • Les trams ont eux nécessité des dépenses à hauteur de 475.000 euros, dont 382.000 euros pour des réparations après vandalisme ;
  • – Les interventions pour les bus se sont également élevées à un total de 412.655 euros en 2020, dont 389.000 à la suite de jet de projectiles ;
  • Pour les rames de métro, 330.000 euros ont été dépensés en réparations, dont 115.000 euros pour vandalisme et 215 000 euros pour l’enlèvement de graffitis.

Prendre les auteurs en flagrant délit s’avère très difficile. En 2020, 333 auteurs ont pu être identifiés et 6 dossiers ont été transmis au parquet de Bruxelles.

Belga

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21 septembre 2021 - 07h18
Modifié le 21 septembre 2021 - 07h20