“J’ai longtemps gardé le silence pour ne pas compliquer les négociations à Bruxelles mais je ne peux plus me taire“, écrit-elle. “La situation à Bruxelles est trop préoccupante. Près de trois mois après les élections, les négociations pour la formation d’un gouvernement n’ont pas encore commencé, et aucune majorité n’a même été trouvée du côté flamand. Pourtant, les défis auxquels notre Région est confrontée sont immenses”, peut-on lire dans La Libre.