Autrement : comment mieux valoriser le monde bruxellois de la nuit ?

Clubs, bars de nuit, centres culturels : comment mieux défendre le monde de la nuit pour mieux le gérer et le protéger ? c’est la question que Cyprien Houdmont se pose dans Autrement avec ses invité·es, membres du conseil bruxellois de la nuit.

Où se rendent les clubbers, quels sont les lieux qui vivent la nuit à Bruxelles ? Une étude menée par l’association qui défend le milieu de la nuit 24h Brussels cartographie les endroits festifs pour mieux comprendre le secteur et mieux le défendre. Et le premier constat, ce sont que les lieux festifs se concentrent particulièrement dans le centre-ville.

Les questions et réponses posées dans cette émission trouveront écho le week-end du 5-7 décembre, pour l’événement Brussels Nightcall.  À l’affiche: des ateliers ainsi que des conférences la journée et des événements “mettant en lumière le meilleur de la ‘nightlife’ à Bruxelles” le soir. L’événement a été imaginé dans le but de “mettre en avant le secteur de la ‘nightlife’ et sa communauté dynamique, en (exposant) des clubs, des bars de nuit et des collectifs de (la fédération) Brussels By Night”. Durant la journée, environ 15 ateliers et conférences investiront trois lieux emblématiques du monde de la nuit bruxellois, à savoir le C12, le UMI et le Fuse. “Les discussions aborderont les défis clés auxquels le secteur est actuellement confronté. Les sujets incluront les difficultés rencontrées par les organisations, la précarité de la ‘nightlife’, la pollution sonore, la compréhension du public, le soutien politique, la vision de la fête dans le Bruxelles de demain, le ‘care’ et la réduction des risques”, a indiqué l’organisation.

 

Sur le plateau :

Lorenzo Serra, cofondateur de Brussels by night
Alya Dirix, coordinatrice du Conseil bruxellois de la nuit
Nicolas Hemeleers, urbaniste chez City Tools et cofondateur de l’association 24h Brussels
Maude Glorieux, cheffe du service Tranquillité publique à la Ville de Bruxelles

La rédaction avec Belga