Bruzz contraint de licencier quatre équivalents temps plein à cause des mesures d’économie
À la suite des mesures d’économie prises par le gouvernement flamand, la société derrière Bruzz – qui regroupe les médias néerlandophones de Bruxelles – est contrainte de se séparer de quatre équivalents temps plein, a-t-elle indiqué vendredi à l’agence de presse Belga.
Bruzz est la marque médiatique de l’ASBL Vlaams-Brusselse Media, soit la maison médiatique néerlandophone de Bruxelles.
À partir de l’année prochaine, BRUZZ devra réaliser 6,5% d’économies sur ses moyens de fonctionnement. “Conjuguée à la situation financière post-coronavirus déjà difficile, cette mesure oblige BRUZZ à mettre en place un programme d’économies drastique”, regrette l’entreprise.
Outre le licenciement de quatre employés, BRUZZ doit également réduire le nombre de missions freelance et supprimer le magazine culturel mensuel BRUZZ Select ainsi que le label musical BRUZZ Ice.
Malgré cela, Bruzz continuera à s’engager pleinement pour mener à bien sa mission principale : la télévision linéaire, BRUZZ Radio et le magazine BRUZZ qui continueront eux d’exister.
Les économies réalisées par le gouvernement flamand ne touchent d’ailleurs pas que la société médiatique bruxelloise. La commission communautaire flamande (VGC), l’accueil de la petite enfance qui dépend de la Communauté flamande, l’enseignement néerlandophone à Bruxelles et la Vrije Universiteit Brussel sont également affectés.
Belga





