Olivier Delespesse, 45 ans
Quand je pense à Olivier je vois toujours son grand sourire, me disait dernièrement une de ses amies.
Que ce soit à la Communauté Française où il travaillait, ou dans la vie courante, un grand sourire accueillait tous les gens qu’il côtoyait et qu’il aidait de son mieux.
Il aimait Brassens, Gainsbourg, Bashung, il avait toujours une chanson à chantonner, une poésie à réciter.
C’était un garçon joyeux et de bonne compagnie, mais il était très soucieux de l’avenir.
Olivier était très exigeant avec lui-même, faisant de nombreux sacrifices pour pouvoir acheter « sa maison ».
Comme tout le monde, il avait aussi ses défauts.
J’étais sa maman, son amie, sa confidente.
Le 21 mars au soir, comme souvent nous avons parlé une heure au téléphone…c’est la dernière fois que j’ai entendu sa voix et « Bonne nuit momang ».
Il me manque…il nous manque.
Sa maman
Texte publié en collaboration avec l’association Life4Brussels