Les navetteurs vont pouvoir se rendre à Forest National à moitié prix
Afin de rendre Forest National plus accessible, la salle de concerts a conclu un partenariat avec la compagnie de chemin de fer SNCB. A partir de septembre, les visiteurs pourront acheter un ticket “Bravo!”, leur permettant de prendre le train jusqu’à Forest National à moitié prix.
Le ticket “Bravo!” sera disponible pour tous les événements organisés à partir du mois de septembre à Forest National. Les visiteurs pourront l’acheter sur le site internet sncb.be/bravo 31 jours à l’avance en utilisant le code SNCB figurant sur la place de concert.
Ce billet de train spécial est valable pour toutes les gares en Belgique et les gares de Forest-Est ou Bruxelles-Midi. De Forest-Est, la salle de concerts est à 5 minutes à pied. Au départ de Bruxelles-Midi, les spectateurs peuvent utiliser gratuitement le Event Pass de la SNCB pour prendre le tram gratuitement.
“La plupart des événements de Forest National se terminent entre 22h00 et 22h30“, explique Coralie Berael, responsable du site de Forest National. “Donc, c’est toujours facile de rentrer chez soi avec les derniers trains.” Le retour avec “Bravo!” peut également se faire le lendemain.
Atteindre 10 à 20 % de navetteurs
Selon Berael, la collaboration avec la SNCB est “le lien manquant de notre plan de mobilité”. “Si vous voyagez en train, vous êtes dès lors plus respectueux de l’environnement et ne perdez pas de temps à chercher une place de parking“.
En 2015, seulement 5,5% des spectateurs en moyenne ont pris le train pour Forest National, avec des pics d’affluence allant jusqu’à 13%.
D’après Marc Huybrechts, directeur marketing de la SNCB, 70 à 80% du public de Forest National est en mesure de prendre le train. “Nous voulons atteindre 10 à 20 % de navetteurs avec ce billet.” La coopération avec Forest National s’inscrit dans l’engagement social de la SNCB, explique-t-il. “Depuis des années, nous proposons par exemple des billets spéciaux pour les festivals et nous avons également une offre similaire pour l’Ancienne Belgique“.
Avec Belga/Interview de Nicholas Franchomme