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Manifestation pour limiter la souffrance animale dans les labos

Une action contre l’expérimentation animale était organisée ce matin devant l’animalerie de l’ULB. C’est là que sont hébergés les animaux destinés aux unités de recherche en médecine du campus Erasme. 

Les manifestants réclament un meilleur contrôle de la souffrance animale, moins d’expérimentations et plus de méthodes alternatives. De son côté, l’ULB affirme respecter les normes européennes.

Selon, Solange T’Kint, porte-parole de “Suppression des Expériences sur l’Animal”, 20% des animaux endurent des souffrances sévères alors que la moyenne européenne est de 10%. Les animaux de laboratoire souffrent donc plus à Bruxelles, affirme-t-elle.

L’état des animaux doit être suivi de près, en fonction d’une série de critères au quotidien, répond Alban de Kerchove, vice-président de la commission bruxelloise d’expérimentation animale. “En cas de problème on doit réagir le jour-même pour renforcer le bien-être animal.”

Les militants demandent également à la Région de mieux répartir les financements de la recherche en faveur des recherches sans expérimentation animale. Il est déjà interdit de faire des expériences in vivo quand c’est possible. En trois ans, le budget pour développer la recherche de méthodes alternatives a doublé.

►Reportage de Marie-Noëlle Dinant, Yannick Vangansbeek et Corinne Debeul

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