Le rapatriement des militaires du Gabon est sans lien avec leur bagarre, affirme le parquet

Trois enquêtes sont ouvertes, à savoir par les autorités gabonaises, françaises et belges.

Une enquête a été ouverte pour coups et blessures volontaires dans le cadre d’une bagarre impliquant des militaires belges et français ainsi que des civils gabonais, dans la nuit de vendredi à samedi, dans un night-club de Libreville au Gabon, a indiqué mercredi le parquet fédéral, confirmant une information publiée par la Dernière Heure, Het Laatste Nieuws et De Morgen.

Il précise cependant que les huit militaires concernés n’ont pas été rapatriés ce week-end à cause de cet incident, qui s’est produit la veille au soir de leur retour au pays. Il ajoute qu’il n’y a eu que des blessés légers lors de la bagarre. Personne n’a dû être emmené à l’hôpital.

Trois enquêtes sont ouvertes, à savoir par les autorités gabonaises, françaises et belges. En Belgique, le parquet fédéral est saisi de l’affaire. La bagarre aurait opposé des militaires belges, du 3e bataillon des Parachutistes de Tielen, à des militaires français, selon la DH. Des civils auraient été légèrement blessés. Les huit militaires belges concernés étaient en fin de mission. Ils sont rentrés en avion le week-end dernier.

Belga

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