Fracture numérique et décret paysage : les aides aux apprentissages se diversifient

Les secondes sessions vont bientôt terminer à l’ULB. Avant ce moment charnière des études, les étudiants sont sur le pied de guerre. Chacun a ses propres techniques pour réussir l’ultime session pour accéder à l’échelon supérieur.

Avec les années et le taux d’échec toujours important, les aides à l’apprentissage se sont diversifiées pour devenir plus complètes. Que ce soit les matières, la méthodologie ou la gestion du temps, l’ULB tente d’aider au maximum les étudiants. “On remarque, par exemple, que les étudiants maîtrisent parfaitement tout ce qui touche au numérique, comme les réseaux sociaux ou le smartphone. En revanche, ils sont plus en difficulté lorsque cela concerne des outils professionnels comme Word, Excel ou des présentations de type PowerPoint”, explique Sylviane Bachy, responsable des accompagnements aux apprentissages.

L’an dernier, il y a aussi eu la mise en place du décret paysage. “Cela crée plutôt du stress”, poursuit-elle. “Certains baissent même les bras et ne vont pas au bout parce qu’ils ont assez de crédits pour passer l’année. On a eu un tout petit peu moins de monde à l’aide à la réussite à cet égard.”

En tout, 5000 étudiants ont demandé de l’aide à l’ULB avec les aides à l’apprentissage.

  • Un reportage de Michel Geyer et Karim Fahim

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