Les speed-pedelec ne séduisent pas les Bruxellois

Le speed-pedelec est assimilé, aux yeux de la loi, à un cyclomoteur.

Bruxelles Mobilité estime à 600 par jour le nombre de trajets en speed-pedelec à destination et en provenance de la Région de Bruxelles-Capitale. À l’horizon 2030, ce chiffre pourrait augmenter de manière exponentielle et atteindre des dizaines de milliers de déplacements quotidiens. Si le concept peut satisfaire les attentes de navetteurs venant de l’extérieur de Bruxelles, il ne rencontre pas un franc succès auprès des Bruxellois.

L’enseigne de vente de vélos à Ixelles, Cycle Devos, ne constate pas réellement d’engouement pour ces engins. Le speed-pedelec est assimilé, aux yeux de la loi, à un cyclomoteur. Être âgé de 16 ans et posséder un permis s’avère nécessaire pour le piloter. Autre contrainte, l’obligation de faire immatriculer son vélo.

Les Bruxellois préfèrent se rabattre sur d’autres types de deux roues dotées d’une assistance au pédalage : les vélos électriques et les vélos motorisés qui sont capables de fonctionner de manière autonome. Limités à 25km/h, ils ne requièrent ni permis, ni immatriculation.

Maël Arnoldussen, image d’illustration Belga

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