DéFI veut contribuer à des solutions pour sortir Bruxelles des crises qu’elle traverse

Même sans jouer les premiers rôles en Région bruxelloise, DéFI est disponible pour aider à trouver des solutions aux différentes crises que traverse la Région bruxelloise et à y améliorer la sécurité, même si Bruxelles n’agit qu’en soutien du Fédéral en la matière.

Tel est en substance le message que sont venus délivrer mardi, aux informateurs bruxellois, le ministre en affaires courantes Bernard Clerfayt et le chef du groupe DéFI au parlement bruxellois Jonathan De Patoul.  “Les citoyens attendent qu’il y ait un gouvernement qui n’est qu’un moyen de trouver des solutions”, a commenté Bernard Clerfayt, a son arrivée au Parlement bruxellois.  Selon Jonathan de Patoul, même sans entrer au gouvernement, la formation amarante est disponible pour permettre à Bruxelles de retourner à terme à l’équilibre budgétaire, et de répondre dans ce contexte aux grands enjeux du logement, de la formation, de la sécurité, de la mobilité et de la simplification administrative et des institutions de la Région capitale.  De son côté, la cheffe de file de Vooruit, Ans Persoons a jugé positif de “pouvoir parler du contenu”.

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Quittant  les informateurs bruxellois Christophe De Beukelaer (Les Engagés) et Elke Van den Brandt (Groen),  Mme Persoons n’a pas souhaité s’exprimer sur le fond de la conversation qu’elle a eue avec ceux-ci.   “Il est important de ne pas faire de déclarations dans la presse, mais de les faire autour d’une table”, a-t-elle dit, soulignant que Vooruit n’avait aucun tabou à l’égard d’un parti, hormis le Vlaams Belang.

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Belga