“Faire l’amour avec un alien fut ma plus belle expérience”

De l’individu qui prétend que ses partenaires sexuels extraterrestres sont bien meilleurs au lit que n’importe quel partenaire humain à un homme qui explique s’être fait introduire une «sonde vivante» de 30 cm dans l’anus, un nouveau livre fait le point sur les prétendues relations sexuelles entre humains et aliens. C’est un fantasme particulier : avoir une relation sexuelle avec un extraterrestre. Et il concerne un certain nombre d’être humains, a pu constater Nigel Watson, auteur d’un livre sur le sujet. D’après ses recherches, les premières relations auraient eu lieu dans les années 50. Il note toutefois que ce phénomène pourrait être plus ancien : les êtres humains estimaient alors avoir eu des relations avec des «démons».

«Le premier cas de contact sexuel de notre ère a été vécu par Antonio Villas Boas en Amérique du Sud. Boas a affirmé en 1957 qu’il avait été traîné dans une soucoupe volante et forcé à avoir des relations sexuelles avec une belle femme étrangère. Quand il est parti, elle a pointé son estomac, lui et ensuite le ciel, laissant entendre qu’elle aurait son enfant quelque part dans l’espace», raconte Watson. Dans son livre «Communion», Whitley Strieber a décrit son enlèvement par des extraterrestres, qui lui ont introduit une sonde de 30 cm dans l’anus. «Cela semblait être une entité vivante, alors quand elle a été sortie, il a été surpris de voir que c’était un appareil mécanique», rapporte Watson.

Plus récemment, dans un documentaire intitulé «Love and Saucers», l’artiste new-yorkais David Huggins a rapporté entretenir des relations sexuelles régulières depuis près de 60 ans avec une certaines Crescent, qui aurait donné naissance à un enfant.

D’autres témoignages font état d’une expérience particulièrement intenses, expliquant que le sexe avec un extraterrestre était la chose la plus agréable connue, avec des émotions allant au-delà de ce qu’il est possible de ressentir avec un partenaire humain.

Ces témoignages ne manqueront pas de faire dire aux mauvaises langues que ces récits pourraient simplement correspondre à des expériences de sexe sous de puissants hallucinogènes.