A la place du “néolibéralisme dur”, le PS propose en 2019 un “nouveau pacte social”

Le président du parti socialiste Elio Di Rupo a proposé mardi la mise en place en 2019 d’un “nouveau pacte social” appelé à remplacer le programme “destructeur” de l’actuel gouvernement fédéral “MR N-VA” à l’origine d’une “politique durement néolibérale”. “Le combat sera implacable”, a prédit M. Di Rupo à l’aube de deux importantes échéances électorales, communales, en octobre, et législatives en mai 2019. A l’entendre, le choix aura même été rarement aussi “clair” entre le “camp du progrès”, socialiste, et celui du MR, “Monde des Riches” qui engendre “Misère et Régression”.

Parti à la “reconquête” après les “difficultés” qui ont miné le parti (les affaires), le PS entend convaincre les citoyens qu’il faut “imposer notre présence à la table des différents gouvernements”. Pour ce faire, Elio Di Rupo promet “un pacte social qui réparera tout ce qui a été détruit par le MR et la N-VA”.

Des propositions de loi ont été déposées au parlement, traduisant à ce stade 60% des engagements pris lors du chantier des idées du parti. Parmi celles-ci, il en est une qui traduit une revendication de la FGTB, présente, avec la Mutualité socialiste Solidaris au parc communal de Baudour, où Elio Di Rupo prend traditionnellement la parole. Elle vise à fixer le salaire horaire minimum à 14 euros au lieu des 9,5 euros actuels.

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01 mai 2018 - 13h53

BX1
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