Saint-Josse : les prostituées ont l’impression de n’avoir aucun droit selon des chercheuses de l’Université de Gand

Pendant six mois, les chercheuses se sont entretenues avec une trentaine de prostituées travaillant à Saint-Josse.

Ces prostituées, majoritairement originaire du Nigeria, partagent le même sentiment de peur. Elles ne se sentent pas en sécurité à cause de la criminalité ordinaire, de la violence du quartier, des clients ou des prétendus clients qui les volent.

Interview | Bruxelles : une rue portera le nom d’Eunice Osayande, travailleuse du sexe assassinée en 2018

La précarité est un autre souci avec des vitrines qui se louent jusqu’à 3.500 euros par mois et le prix d’une passe qui atteint tout juste 20 euros.

Les prostituées demandent une plus grande présence policière, car lorsque la police est là, il y a moins de criminalité.

Reportage de Jean-Christophe Pesesse, Marjorie Fellinger et Corinne De Beul

Partager l'article

15 septembre 2021 - 19h07
Modifié le 15 septembre 2021 - 19h07

BX1
Résumé de la politique de confidentialité

Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous fournir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre les sections du site que vous trouvez les plus intéressantes et utiles.

Plus d'informations sur nos mentions légales