DéFI présente ses voeux et son processus de modernisation
La présidente de DéFI, Sophie Rohonyi a présenté mardi soir aux quelque 300 à 400 militants de sa formation les voeux du parti mais aussi le processus de modernisation de la formation amarante, sortie largement battue des élections de juin dernier et diminuée en plusieurs endroits lors de celles d’octobre.
Ce processus de modernisation “et non de refondation” permettra aux militants, mais aussi aux citoyens, de s’exprimer sur l’avenir de celui-ci et du pays, a-t-elle dit. Selon la présidente, trois grands chantiers sont en vue. Un sondage participatif, accessible via osonslavenir.be permettra aux citoyens et aux militants de donner leur avis sur l’avenir du pays et d’exprimer leurs attentes envers la politique. Une réforme de l’organisation interne visera à renforcer la transparence et la participation des membres dans les processus décisionnels. En vue, dans ce contexte: une nouvelle charte et de nouveaux statuts. La nouvelle présidente a également annoncé une modernisation de la communication, à l’aide d’outils numériques qui permettront de clarifier le positionnement du parti et d’assurer la transparence sur le processus. “Ces trois chantiers constituent les fondations d’une modernisation ambitieuse, sans aucun tabou, y compris sur le nom du parti, et où chacun sera entendu”, a précisé la présidente.
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Aux yeux de celle-ci, face à une démocratie en danger, le parti entend être “l’alternative aux opportunistes, aux prétendus “engagés” qui ne s’engagent sur rien, aux prétendus “socialistes” et “écologistes” qui courent après l’extrême gauche, ou encore aux prétendus “libéraux” qui courent après l’extrême droite”. “Ce processus de modernisation va au-delà du parti. Il vise, dans une démarche participative, à redonner foi et espoir en l’avenir et en celles et ceux qui le construisent. Nous sommes convaincus que cette réconciliation ne peut passer qu’à travers un parti libéral et progressiste, tourné vers l’avenir”, a conclu Sophie Rohonyi.
Belga