Le métier d’embaumeur, entouré de tabous et de mystères

En cette veille de la Toussaint, on s’intéresse à un métier entouré de tabous et de mystères. Celui, d’embaumeur.

A la différence de la toilette mortuaire, qui est pratiquement effectuée sur chaque défunt, l’embaumement est pratiqué en cas d’accident.

Développées en Belgique depuis une trentaine d’années, les techniques de l’embaumement n’ont que très peu évoluées à travers le temps. C’est un travail de restauration qui s’apparente à de la chirurgie.

Rencontre avec Louis, qui a exercé cette profession durant de longues années.

■ Un reportage de Thomas Destreille et Frédéric de Henau

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31 octobre 2019 - 18h22
Modifié le 31 octobre 2019 - 19h32