Alex Vizorek, maître de cérémonie surréaliste des Magritte du Cinéma 2019

L’humoriste et chroniqueur Alex Vizorek officiera le 2 février prochain à la présentation de la 9e édition des Magritte du Cinéma au Square, situé aux Mont des Arts à Bruxelles, ont annoncé vendredi les organisateurs. Une première pour l’animateur aux multiples casquettes, qui reprend le flambeau du comédien Fabrizio Rongione.

L’Art, c’est comme la politique. C’est pas parce qu’on n’y connaît rien qu’on ne peut pas en parler.” Cette devise, tirée du spectacle “Alex Vizorek est une œuvre d’art“, sera ainsi appliquée par le présentateur de l’émission culte sur France Inter “Par Jupiter” au 7e art, après la musique, la sculpture et l’art moderne.

Maître de cérémonie de la grand messe du cinéma belge, une proposition professionnelle que le touche-à-tout pédagogue ne pouvait refuser… À moins qu’il n’ait confondu avec la présentation du musée bruxellois dédié au peintre surréaliste? C’est en tout cas ce qui taraude le journaliste, aussi diplômé de la Solvay Brussels School, dans une première vidéo annonçant la cérémonie de remise des prix, publiée vendredi sur Twitter et Facebook.

Le 2 février, celui qui épluche l’actualité pour Thierry Ardisson, dans “Salut les Terriens“, donnera donc sa vision du cinéma belge au cours d’une soirée qui entend mettre à l’honneur les professionnels du secteur. Car si ces derniers sont reconnus à l’étranger, les talents du plat pays restent “trop souvent ignorés du grand public“, selon le site des Magritte. Le gala sera retransmis en direct sur La Deux.

Alex Vizorek était déjà venu remettre un prix lors de l’édition précédente. Le comparse de Charline Vanhoenacker sur les ondes françaises monte ainsi en grade, lui qui s’est d’ailleurs déjà essayé au cinéma.

En 2017, il est en effet apparu sous les traits d’un conseiller de Pôle Emploi dans le film “Madame” d’Amanda Sthers. Cette année, il a en outre partagé l’affiche avec la chanteuse Louane dans l’adaptation du roman “Les Affamés“, de Léa Frédeval. Et en septembre prochain, il s’illustrera dans “J’ai perdu Albert” (Einstein, bien sûr), écrit par Didier Van Cauwelaert, avec au casting Josiane Balasko et Bernard Le Coq.

Sur les planches, il est actuellement dans “Trois hommes et un couffin”, grand succès cinématographique des années 1980, sur la paternité de trois célibataires endurcis.

Belga