Namur fête ses 30 ans en tant que capitale de la Wallonie, souligne Maxime Prévot

“Nous travaillons à une ville plus belle, plus attractive pour les touristes et pour l’emploi, plus inclusive et solidaire pour les plus fragiles, plus agréable et dynamique pour chacun”, s’est félicité Maxime Prévot, bourgmestre de Namur, dans le cadre du traditionnel discours des Fêtes de Wallonie. Le mayeur a fait le bilan des trente ans d’existence de Namur en tant que capitale de la Wallonie en évoquant entre autres la réputation internationale de la ville en tant que “leader” en matière d’enseignement supérieur, de développement technologique, d’innovation et de services. “Namur bouge, ça se sent, ça se voit, ça se vit”, tel a été le fil conducteur de son discours, mettant en lumière les changements opérés dans la ville ainsi que la réputation de cette dernière sur la scène internationale, via des événements comme l’Européade ou encore la candidature à l’UNESCO des Echasseurs namurois. L’enseignement a également été cité par Maxime Prévot, soulignant la réputation de l’IMEP au-delà des frontières du pays, et méritant ainsi sa “Gaillarde d’argent”.

Outre l’enseignement supérieur, dans le but de mettre en place une éducation de qualité, “d’ici deux ans de nombreuses écoles communales bénéficieront de tableaux numériques derniers cris”, a commenté le mayeur, soulignant ainsi l’importance des infrastructures modernes.

Évoquant les divers domaines de changements dont l’emploi, le tourisme, l’environnement, la santé et la sécurité, le mayeur a rappelé que, face aux douloureux faits d’actualité des derniers mois, “Namur restait debout et continuait à vivre”.

Maxime Prévot a par ailleurs justifié les nombreux projets urbanistiques controversés allant de la construction d’une passerelle cyclo-piétonne à la rénovation du quartier de la gare. “Personne n’aime les chantiers, mais c’est un mal pour un mieux durable”, a expliqué le bourgmestre en assumant parfaitement son surnom de “Max la Pelleteuse”.