L'administration pressée de contrôler les absences maladie de façon plus responsable L'administration pressée de contrôler les absences maladie de façon plus responsable

Le gouvernement a décidé vendredi d’adapter les contrôles des absences pour maladie dans l’administration en invitant les employeurs à une plus grande “responsabilisation”, ont indiqué les ministres de la Fonction publique Steven Vandeput et de la Santé Maggie De Block. Actuellement, le contrôle des absences pour maladie dans la fonction publique est opéré à l’initiative de l’employeur pour 10%, à 60% sur base de l’historique des absences et à 30% selon un tirage au sort. A l’avenir, l’employeur interviendra pour 30% dans l’origine des contrôles (50% sur base de l’historique des absences et 20% sur base d’un tirage au sort).

La décision du gouvernement invite par ailleurs à prévoir une période d’exonération de contrôle de 5 jours maximum en cas d’épidémie déterminée par l’Institut scientifique de santé publique.

“Ce réajustement nous permet d’évoluer vers un nouvel équilibre entre, d’une part, une plus grande responsabilisation des administrations fédérales en tant qu’employeur en ce qui concerne le contrôle des fonctionnaires absents pour maladie et, d’autre part, une utilisation plus efficace des moyens disponibles dans le cadre de ces contrôles”, ont justifié les deux ministres.

Le gouvernement invite également à consacrer une “attention suffisante” à la prévention dans le cadre du burn-out et du stress, offrir un bon équilibre entre vie privée et professionnelle. Il appelle en outre à veiller à une “réintégration durable” des malades de longue durée. Le gouvernement a décidé vendredi d’adapter les contrôles des absences pour maladie dans l’administration en invitant les employeurs à une plus grande “responsabilisation”, ont indiqué les ministres de la Fonction publique Steven Vandeput et de la Santé Maggie De Block. Actuellement, le contrôle des absences pour maladie dans la fonction publique est opéré à l’initiative de l’employeur pour 10%, à 60% sur base de l’historique des absences et à 30% selon un tirage au sort. A l’avenir, l’employeur interviendra pour 30% dans l’origine des contrôles (50% sur base de l’historique des absences et 20% sur base d’un tirage au sort).

La décision du gouvernement invite par ailleurs à prévoir une période d’exonération de contrôle de 5 jours maximum en cas d’épidémie déterminée par l’Institut scientifique de santé publique.

“Ce réajustement nous permet d’évoluer vers un nouvel équilibre entre, d’une part, une plus grande responsabilisation des administrations fédérales en tant qu’employeur en ce qui concerne le contrôle des fonctionnaires absents pour maladie et, d’autre part, une utilisation plus efficace des moyens disponibles dans le cadre de ces contrôles”, ont justifié les deux ministres.

Le gouvernement invite également à consacrer une “attention suffisante” à la prévention dans le cadre du burn-out et du stress, offrir un bon équilibre entre vie privée et professionnelle. Il appelle en outre à veiller à une “réintégration durable” des malades de longue durée.

Partager l'article

20 mai 2016 - 14h55